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Coteaux du Layon 2022

Ce Coteaux du Layon a un bel équilibre entre l’acidité et le sucre. Le nez est frais et suave avec des notes d’abricot et de coings; en bouche ce vin est frais et fruité.

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Coteaux du Layon 2022

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Description du produit

Les vignobles d’Anjou représentent 21 000 hectares répartis essentiellement au sud de la Loire entre Ancenis et Saumur.
Ils comprennent 19 appellations d’origine contrôlée ou protégée, 8 dénominations, et une indication géographique protégée (IGP).

Ces vignobles rassemblent plus de 2000 domaines et 5 coopératives viticoles. Ils bénéficient d’un climat océanique tempéré dans le secteur d’Ancenis et d’Angers, avec une influence continentale dans le Saumurois due à la proximité de la Touraine.
Les vignobles d’Anjou se caractérisent par leurs sols et leurs sous-sols riches en schistes gréseux et ardoisiers.

Les cépages les plus cultivés sont le cabernet franc, pour les rouges et les rosés, ainsi que le chenin, pour les vins blancs.
Les vignobles d’Anjou sont nés au Moyen Âge avec les monastères : chaque établissement religieux possédait alors son clos de vigne, et les vins des bords de Loire étaient servis à la table des Plantagenêt.

Les rois de France et d’Angleterre ont contribué au développement et à la réputation des vins de la vallée de la Loire.
Au Moyen Âge, la culture de la vigne était concentrée autour d’Angers et de Saumur, ainsi que sur un coteau de la Loire.
Le vignoble s’est ensuite étendu aux rives des affluents de la Loire, comme l’Aubance, le Layon et le Thouet.

L’appellation Anjou comprend des sous-appellations : l’Anjou rouge, l’Anjou Blanc et l’Anjou fines bulles.
L’Anjou partage son territoire avec les autres appellations locales de Cabernet d’Anjou et de rosé d’Anjou.
Les trois AOC appartiennent au grand vignoble du Val de Loire, et sont localisées autour du fleuve entre le vignoble Nantais et le vignoble de Touraine.

Tous les types de vins, blancs, rouges, rosés et effervescents sont produits dans le vignoble angevin.
Le territoire angevin profite en effet d’une grande variété de climats et de sols, entre l’influence océanique nantaise et l’influence continentale tourangelle, le sous-sol blanc de tuffeau, le sous-sol noir de schiste ardoisier et le sol sableux des bords de Loire.

Le Layon est d’une robe vert pâle dans sa jeunesse. Les années le parent de nuances vieil or aux reflets ambrés. La première merveille au cœur de ce trésor olfactif est d’y découvrir la clef de voûte qui soutient tous les grands Layon : l’acidité naturelle que lui procure son cépage, le chenin. A travers les ans, elle seule préserve sa nervosité en rafraîchissant son côté trop onctueux. Le voyage peut enfin commencer dans un des plus extraordinaires jardins que l’on connaisse. Jeune, le Layon a son odeur de raisin frais qu’accompagne celle de l’abricot. Avec l’âge, il acquiert un bouquet où se mêlent le tilleul, la fleur d’acacia et où prédomine déjà le miel. Puis on passe aux fruits des contrées exotiques : mangue, ananas, litchi. Et c’est seulement beaucoup plus tard, disons une génération d’homme, que naissent les senteurs de fruits confits, abricot, pêche, orange, et fruits secs. Et si le tilleul réapparaît, c’est sous forme d’infusion qu’il est alors perçu. Enfin, le voyage se termine dans une floraison d’essences les plus rares, des essences teintées d’un peu d’amertume, celle de la gentiane et du quinquina.

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